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Affichage des articles associés au libellé Biologie Végétale

UN JARDIN NATUREL SANS COUPE

  L'herbe pousse et l'envie vous prend de tondre votre pelouse ? Alors n'attendez plus et ... Tondez mieux !  Retrouvez nos 3 objectifs simples et scientifiquement prouvés pour préserver la biodiversité ! by Ad Naturam

Les écosystèmes de mangrove

Les écosystèmes de mangrove offrent divers services écosystémiques, dont nous soulignons les suivants : 1. Réduction des catastrophes : Les forêts de mangroves offrent une protection et un refuge contre les événements climatiques extrêmes tels que les tempêtes et les inondations. 2. Protection de la biodiversité : Les feuilles et racines de mangle fournissent des nutriments profitables par le zooplancton, les algues, les poissons et les fruits de mer. Les mangroves offrent aussi un refuge aux mammifères et aux oiseaux de mer. 3. Mitigation du changement climatique : les mangroves possèdent un potentiel de stockage du carbone comparable à celui des grandes forêts tropicales. Cela signifie que les forêts de mangroves atténuent les émissions de CO2 dans l'atmosphère en tant que sites naturels de stocks de carbone. 4. Amélioration de la pêche / production de la pêche : les mangroves sont une zone d'élevage pour de nombreuses espèces de jeunes, y compris certaines espèces commercia...

La photosynthèse

La photosynthèse est le processus responsable de la transformation de l’énergie lumineuse en énergie chimique au niveau de la plante, autrement dit au processus permettant de synthétiser de la matière organique (sucres) à partir de la lumière du soleil. Elle se réalise au niveau des chloroplastes qui sont des organites cellulaires spécialisées, et permet une consommation de dioxyde de carbone et d’eau afin de produire du dioxygène et des molécules organiques telles que le glucose. Pour se faire la photosynthèse se réalise en deux grandes phases, la phase claire et la phase sombre.

Les transports membranaires

Les transports membranaires  Perméabilité des membranes et transporteurs membranaires  La membrane cytoplasmique, interface entre la cellule et son environnement, est le lieu de passage de très nombreux composés minéraux et organiques qui alimentent le métabolisme cellulaire ou qui sont évacués en tant que déchets. Seules les molécules hydrophobes, les gaz dissous, l’eau et les molécules hydrophiles (polaires) non chargées, de faible masse moléculaire, franchissent les bicouches phospholipidiques avec une certaine facilité, sous l’action de la seule diffusion. • Les transporteurs membranaires : tous les composés polaires de masse élevée, les molécules organiques chargées et les ions minéraux sont totalement arrêtés par ces mêmes bicouches ; or, tous sont d’une importance capitale pour le fonctionnement des cellules (métabolisme, potentiel de membrane…). Pour pénétrer dans les cellules, ces derniers doivent donc emprunter des dispositifs appropriés, constitués par des cana...

Les techniques d’étude de la structure des membranes

Les techniques d’étude de la structure des membranes  Un nombre considérable d’expériences concernant l’architecture membranaire a été conduit sur les hématies de Mammifères. Ces cellules très différenciées constituent un excellent modèle biologique pour ce genre d’études, car elles ne contiennent plus aucun organite et leur seule membrane est la membrane plasmique, qui peut donc être aisément purifiée après hémolyse puis centrifugation (on parle de « fantômes » d’hématies) ; elles peuvent en outre être obtenues en très grandes quantités. • Techniques d’homogénéisation et de fractionnement cellulaire : différents protocoles  ont été mis au point afin d’obtenir, à partir de ces hématies, des vésicules membranaires dont la polarité est celle de la membrane plasmique de départ (vésicules dites « normales »), ou des vésicules dites « retournées », dont la polarité est inverse, c’est-à-dire que leur face externe correspond à la face interne de la membrane plasmique initiale. ...

Composition chimique et architecture des membranes

 Composition chimique et architecture des membranes  Toutes les membranes biologiques sont organisées de la même façon, qu’il s’agisse de la membrane cytoplasmique propre à chaque cellule ou des membranes internes caractéristiques des Eucaryotes (organites). Elles contiennent, dans des proportions variables, trois types de molécules :  des lipides, des protéines et des glucides.  • Les lipides membranaires : ils représentent de 25 à 75 % de la masse des membranes et possèdent une caractéristique commune, l’amphiphilie (ou amphipathie), c’està-dire la présence de deux domaines ayant des propriétés physico-chimiques opposées dans la molécule : un domaine hydrophile et un domaine hydrophobe, constitué de deux acides gras. Cette propriété est capitale, car elle permet l’autoassemblage en une bicouche : deux feuillets lipidiques accolés par leurs domaines hydrophobes. On distingue :  – des phospholipides , construits à partir de 2 alcools (glycérol ou bien sphi...

Classification des végétaux

Les espèces végétales peuvent être classées en fonction de leur mode d’adaptation aux rigueurs d’hiver, (Godron, 1984) : • Les #phanérogames : ce sont les plantes les plus résistantes : les arbres dont les bourgeons résistent suffisamment au froid pour que les jeunes feuilles soient prêtes à s’épanouir dès les premières chaleurs du printemps. Ces plantes sont dites phanérophytes par analogie avec les phanérogames (plantes dont le système reproducteur se développe de manière très apparente). La hauteur est supérieure à 2 m. • Les #chaméphytes : ce sont les plantes dont les bourgeons sont moins résistants au froid ; elles restent près du sol, abritées sous la neige (chamé = près de la terre). Ce sont de petits ligneux. • Les #hémicryptophytes : les bourgeons sont au ras du sol. • Les #cryptophytes : plantes dont les bourgeons sont enterrés, près d’une réserve de substances nutritives (souvent concentrée dans des tubercules, des rhizomes, des bulbes, etc.), qui leur donnera les force...

Espèce jumelle

Espèce jumelle (sibling species) Ensemble des populations naturelles non inferfécondes bien que présentant de grandes similitudes morphologiques. Espèce limno-terrestre (limno-terrestrial species) Définit une espèce qui requiert une matrice aqueuse dans des habitats strictement terrestres pour pouvoir subsister. Espèce marronne (feral species) Espèce captive ou domestique qui retourne à l’état sauvage. La pression de sélection pour la domestication disparaît lorsqu’une population devient marronne. Espèce mégatherme (megatherm species) Espèce adaptée aux températures élevées (dite aussi sténotherme chaude ou thermophile). Espèce menacée (threatened species) Espèce qui, souvent pauvre génétiquement et de faible fécondité, dépend de ressources isolées ou imprévisibles, et est extrêmement variable en densité de population, persécutée ou tout au moins proche de l’extinction dans des régions dominées par l’Homme. Espèce au statut devenant préoccupant en raison à la fois de s...

De la semence à la plante

Cours de respiration chez les végétaux

Biologie Végétale II

Biologie Végétale II Introduction : Les spermatophytes sont divisées en 2 groupes : ·          L’ovule est nu, c'est-à-dire non enfermé dans un organe clos, chez les spermatophytes gymnospermes (gymnos = nu et sperma = semence) ·          Ou enfermé dans la cavité d’un organe clos appelé carpelle chez les spermatophytes angiospermes ( aggeion = la capsule et sperma = semence ) Avec les angiospermes, une nouvelle étape dans l’évolution est franchie : les graines sont désormais produites dans une enveloppe qui protège jusqu’à la dissémination ou même au-delà en ce sens qu’elle peut être, elle-même, disséminée avec la (les) graine (s) qu’elle contient. Cycle de vie des angiospermes : Comme toutes les plantes, les angiospermes présentent une alternance entre 2 états : l’état sporophytique et l’état gamétophytique. Ce cycle est très déséquilibré : la p...