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UN JARDIN NATUREL SANS COUPE

 

L'herbe pousse et l'envie vous prend de tondre votre pelouse ? Alors n'attendez plus et ... Tondez mieux !

 Retrouvez nos 3 objectifs simples et scientifiquement prouvés pour préserver la biodiversité !
by Ad Naturam

Les écosystèmes de mangrove

Les écosystèmes de mangrove offrent divers services écosystémiques, dont nous soulignons les suivants :

1. Réduction des catastrophes : Les forêts de mangroves offrent une protection et un refuge contre les événements climatiques extrêmes tels que les tempêtes et les inondations.

2. Protection de la biodiversité : Les feuilles et racines de mangle fournissent des nutriments profitables par le zooplancton, les algues, les poissons et les fruits de mer. Les mangroves offrent aussi un refuge aux mammifères et aux oiseaux de mer.

3. Mitigation du changement climatique : les mangroves possèdent un potentiel de stockage du carbone comparable à celui des grandes forêts tropicales. Cela signifie que les forêts de mangroves atténuent les émissions de CO2 dans l'atmosphère en tant que sites naturels de stocks de carbone.

4. Amélioration de la pêche / production de la pêche : les mangroves sont une zone d'élevage pour de nombreuses espèces de jeunes, y compris certaines espèces commercialement importantes.

Malgré tous les services naturels que nous offrent les forêts de mangrove, ces écosystèmes sont gravement menacés et menacés. Cependant, des organisations partout dans le monde se sont jointes pour restaurer et préserver les mangroves.

La photosynthèse

La photosynthèse est le processus responsable de la transformation de l’énergie lumineuse en
énergie chimique au niveau de la plante, autrement dit au processus permettant de synthétiser de
la matière organique (sucres) à partir de la lumière du soleil. Elle se réalise au niveau des
chloroplastes qui sont des organites cellulaires spécialisées, et permet une consommation de
dioxyde de carbone et d’eau afin de produire du dioxygène et des molécules organiques telles que
le glucose. Pour se faire la photosynthèse se réalise en deux grandes phases, la phase claire et la
phase sombre.

LES BRYOPHYTES


Les transports membranaires

Les transports membranaires

 Perméabilité des membranes et transporteurs membranaires

 La membrane cytoplasmique, interface entre la cellule et son environnement, est le lieu de passage de très nombreux composés minéraux et organiques qui alimentent le métabolisme cellulaire ou qui sont évacués en tant que déchets. Seules les molécules hydrophobes, les gaz dissous, l’eau et les molécules hydrophiles (polaires) non chargées, de faible masse moléculaire, franchissent les bicouches phospholipidiques avec une certaine facilité, sous l’action de la seule diffusion. • Les transporteurs membranaires : tous les composés polaires de masse élevée, les molécules organiques chargées et les ions minéraux sont totalement arrêtés par ces mêmes bicouches ; or, tous sont d’une importance capitale pour le fonctionnement des cellules (métabolisme, potentiel de membrane…). Pour pénétrer dans les cellules, ces derniers doivent donc emprunter des dispositifs appropriés, constitués par des canaux, des pores ou des protéines porteuses : il s’agit de protéines transmembranaires de grande taille, souvent constituées de plusieurs sous-unités, qui fonctionnent de deux façons très différentes.

 • Les transports passifs facilités : ces transporteurs accélèrent les transports par diffusion en constituant de simples orifices sélectifs à travers la bicouche (canaux ioniques et pores, tels que les aquaporines), ou en fonctionnant à la manière des enzymes, c’està-dire en reconnaissant la molécule à internaliser au niveau d’un site spécifique, et en subissant un changement de conformation qui amène la molécule de l’autre côté de la membrane (protéines porteuses ou perméases).

• Les transports actifs : ils permettent de faire passer des molécules ou des ions dans le sens contraire de leur gradient électrochimique (contre les forces de diffusion), en utilisant donc une source d’énergie. On en distingue deux types : 1) les transports actifs primaires, qui utilisent l’hydrolyse de l’ATP comme source d’énergie (pompe Na/K ATP dépendante), et 2) les transports actifs secondaires, qui impliquent un transport couplé (cotransport) entre un ion dit « moteur », qui suit son 2 0 Biologie cellulaire en 30 fiches gradient électrochimique (par diffusion) et entraîne en même temps (par symport ou antiport) le mouvement d’une molécule organique ou d’un autre ion dans le sens inverse de leur propre gradient (transport actif). Le maintien du gradient de l’ion moteur nécessite évidemment l’intervention d’une pompe ATP dépendante. Il existe enfin une catégorie universelle et très originale de transporteurs actifs consommant de l’ATP, les transporteurs dits « ABC », qui ne peuvent être étudiés en détail ici. Très représentés dans toutes les cellules, ils sont capables de transporter toutes sortes de composés, depuis les ions minéraux jusqu’aux protéines !

Les techniques d’étude de la structure des membranes


Les techniques d’étude de la structure des membranes

 Un nombre considérable d’expériences concernant l’architecture membranaire a été conduit sur les hématies de Mammifères. Ces cellules très différenciées constituent un excellent modèle biologique pour ce genre d’études, car elles ne contiennent plus aucun organite et leur seule membrane est la membrane plasmique, qui peut donc être aisément purifiée après hémolyse puis centrifugation (on parle de « fantômes » d’hématies) ; elles peuvent en outre être obtenues en très grandes quantités.
• Techniques d’homogénéisation et de fractionnement cellulaire : différents protocoles  ont été mis au point afin d’obtenir, à partir de ces hématies, des vésicules membranaires dont la polarité est celle de la membrane plasmique de départ (vésicules dites « normales »), ou des vésicules dites « retournées », dont la polarité est inverse, c’est-à-dire que leur face externe correspond à la face interne de la membrane plasmique initiale.
 • Étude de l’architecture des membranes : elle commence par la dissolution de la bicouche au moyen de détergents, puis l’identification de toutes les protéines membranaires est réalisée après une électrophorèse dénaturante . De même, l’analyse des différents lipides est faite grâce à la chromatographie . Cette approche globale est complétée par une analyse de l’architecture précise, c’est-à-dire la position exacte des lipides dans chaque feuillet membranaire et la manière dont les protéines sont disposées dans la bicouche (étude de l’asymétrie membranaire). Les protéines extrinsèques sont décrochées de la membrane par des traitements « doux » tels que des changements de pH ou de force ionique du milieu.
 • Techniques de marquage radioactif ou chimique : il est possible de marquer enzymatiquement certains groupements fonctionnels des protéines ou des lipides grâce à des radio-isotopes (ou des composés fluorescents ; . Ceci se réalise soit sur des cellules entières et intactes, soit sur des cellules perméabilisées, soit enfin sur des vésicules artificielles « normales » ou « retournées ». Le marquage se faisant in vitro et l’accessibilité de ces groupements n’étant pas la même vis-à-vis du marquage, selon les 1 6 Biologie cellulaire en 30 fiches différentes situations, l’analyse des molécules marquées (après électrophorèse ou chromatographie) donnera des informations précieuses sur leur orientation dans la bicouche.
• Utilisation d’enzymes : l’analyse des protéines membranaires peut impliquer leur digestion par des peptidases spécifiques, suivie par l’électrophorèse des peptides obtenus. Les chaînes glucidiques portées par les protéines ou les lipides peuvent être décrochées par des glycosidases ; ces chaînes, tournées uniquement vers l’extérieur des cellules, ne sont en effet accessibles que sur des cellules entières ou des vésicules « normales » obtenues in vitro. De la même façon, les lipides sont digérés par des phospholipases, ce qui permet d’étudier leur asymétrie de répartition.

Composition chimique et architecture des membranes

 Composition chimique et architecture des membranes

 Toutes les membranes biologiques sont organisées de la même façon, qu’il s’agisse de la membrane cytoplasmique propre à chaque cellule ou des membranes internes caractéristiques des Eucaryotes (organites). Elles contiennent, dans des proportions variables, trois types de molécules :
 des lipides, des protéines et des glucides.
 • Les lipides membranaires : ils représentent de 25 à 75 % de la masse des membranes et possèdent une caractéristique commune, l’amphiphilie (ou amphipathie), c’està-dire la présence de deux domaines ayant des propriétés physico-chimiques opposées dans la molécule : un domaine hydrophile et un domaine hydrophobe, constitué de deux acides gras. Cette propriété est capitale, car elle permet l’autoassemblage en une bicouche : deux feuillets lipidiques accolés par leurs domaines hydrophobes. On distingue :
 – des phospholipides, construits à partir de 2 alcools (glycérol ou bien sphingosine), de 2 acides gras, d’une molécule d’acide phosphorique et d’une molécule polaire ;
 – des glycolipides, contenant des motifs saccharidiques (sans ac. phosphorique) ;
 – du cholestérol, abondant dans les membranes animales seules, et qui à la différence des autres lipides, n’est pas un ester d’acides gras.
Les protéines : elles représentent aussi une proportion importante de cette masse : 20 à 75 %, selon les membranes cellulaires. Très diversifiées, ce sont elles qui contribuent réellement à leur spécificité et qui assurent leurs fonctions particulières. Les glucides membranaires n’existent jamais à l’état libre, mais sont toujours associés aux lipides (glycolipides) ou aux protéines (glycoprotéines).
 • Architecture : elles sont toutes organisées selon le modèle d’une bicouche lipidique fluide dans laquelle sont enchâssées plus ou moins profondément les protéines membranaires. On en distingue deux types, celles dites intrinsèques (intégrales), et celles dites extrinsèques (périphériques).

 Les premières sont solidement associées à la bicou- © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit. FICHE 3 – Les membranes biologiques 3 1 5 che, qu’elles peuvent traverser de part en part (elles possèdent alors un ou plusieurs domaines hydrophobes), ou dans laquelle elles sont ancrées par des chaînes de lipides ou d’acides gras. Les secondes sont hydrophiles et liées aux premières par des liaisons faibles de surface. Tout comme les lipides, les protéines peuvent se déplacer par diffusion latérale, au sein des membranes, mais sont incapables de basculer d’un feuillet dans l’autre

Classification des végétaux

Les espèces végétales peuvent être classées en fonction de leur mode d’adaptation aux rigueurs d’hiver, (Godron, 1984) :
• Les #phanérogames : ce sont les plantes les plus résistantes : les arbres dont les bourgeons résistent suffisamment au froid pour que les jeunes feuilles soient prêtes à s’épanouir dès les premières chaleurs du printemps. Ces plantes sont dites phanérophytes par analogie avec les phanérogames (plantes dont le système reproducteur se développe de manière très apparente). La hauteur est supérieure à 2 m.
• Les #chaméphytes : ce sont les plantes dont les bourgeons sont moins résistants au froid ; elles restent près du sol, abritées sous la neige (chamé = près de la terre). Ce sont de petits ligneux.
• Les #hémicryptophytes : les bourgeons sont au ras du sol.
• Les #cryptophytes : plantes dont les bourgeons sont enterrés, près d’une réserve de substances nutritives (souvent concentrée dans des tubercules, des rhizomes, des bulbes, etc.), qui leur donnera les forces suffisantes pour percer au printemps, la couche de terre où ils sont ensevelis.
• Les #thérophytes : plantes qui échappent aux rigueurs de l’hiver en se mettant sous forme de graines (ou plus généralement, de diaspores).
• Les #épiphytes : petits organismes qui vivent sur les arbres ou les roches (exemple : les mousses).
Le spectre biologique dépend essentiellement des conditions climatiques. Il est exprimé en % du couvert végétal. On peut définir la végétation par son aspect : exemples :
• #Pelouse : elle comprend essentiellement une végétation herbacée ; elle peut être obtenue suite à un défrichement total d’un terrain boisé.
• #Mattoral : c’est une étape de dégradation de la forêt. Il s’agit d’un maquis sur sol acide
• #Garrigue : c’est un maquis sur sol calcaire.
• #Fruticée : formation végétale de petits ligneux sur sol acide (exemple : formation de cistes).


Espèce jumelle

Espèce jumelle (sibling species)

Ensemble des populations naturelles non inferfécondes bien que présentant de grandes similitudes morphologiques.
Espèce limno-terrestre (limno-terrestrial species)
Définit une espèce qui requiert une matrice aqueuse dans des habitats strictement terrestres pour pouvoir subsister.
Espèce marronne (feral species)
Espèce captive ou domestique qui retourne à l’état sauvage. La pression de sélection pour la domestication disparaît lorsqu’une population devient marronne.
Espèce mégatherme (megatherm species)
Espèce adaptée aux températures élevées (dite aussi sténotherme chaude ou thermophile).
Espèce menacée (threatened species)
Espèce qui, souvent pauvre génétiquement et de faible fécondité, dépend de ressources isolées ou imprévisibles, et est extrêmement variable en densité de population, persécutée ou tout au moins proche de l’extinction dans des régions dominées par l’Homme.
Espèce au statut devenant préoccupant en raison à la fois de ses effectifs en diminution et de menaces naturelles ou plus généralement anthropiques.
La gestion d’une espèce menacée est un moyen pratique dans lequel les conservationnistes peuvent intervenir pour enrayer le processus d’extinction et réduire la perte de biodiversité. Comprendre les causes du déclin d’une population est nécessaire pour définir une gestion efficace.
Espèce mésophile (mesophile species)
Espèce qui a des besoins modérés en eau ou en humidité atmosphérique et supporte des alternances de saisons sèches et de saisons humides.
Espèce microtherme (microtherme species)
Espèce adaptée aux basses températures (dite aussi sténotherme froide ou sténotherme psychrophile).
Espèce migratrice (migratory species)
Espèce qui réalise des mouvements réguliers et saisonniers entre les zones de reproduction et de non-reproduction.
Espèce monophage (monophagous species)
Espèce qui ne subsiste qu’aux dépens d’une seule espèc

De la semence à la plante


Les traits biologiques –adaptations- de la flore


Cours de respiration chez les végétaux






PETIT LEXIQUE DE BOTANIQUE A L’USAGE DU DÉBUTANT

Ce lien contient  un PETIT LEXIQUE  DE BOTANIQUE A L’USAGE DU DÉBUTANT

QUELQUES EXEMPLES DE FLEURS D'ANGIOSPERMES


Biologie Végétale II



Biologie Végétale II

Introduction :

Les spermatophytes sont divisées en 2 groupes :
·        L’ovule est nu, c'est-à-dire non enfermé dans un organe clos, chez les spermatophytes gymnospermes (gymnos = nu et sperma = semence)
·        Ou enfermé dans la cavité d’un organe clos appelé carpelle chez les spermatophytes angiospermes ( aggeion = la capsule et sperma = semence )

Avec les angiospermes, une nouvelle étape dans l’évolution est franchie : les graines sont désormais produites dans une enveloppe qui protège jusqu’à la dissémination ou même au-delà en ce sens qu’elle peut être, elle-même, disséminée avec la (les) graine (s) qu’elle contient.

Cycle de vie des angiospermes :

Comme toutes les plantes, les angiospermes présentent une alternance entre 2 états : l’état sporophytique et l’état gamétophytique.
Ce cycle est très déséquilibré : la phase gamétophytique est très réduite dans l’espace et dans le temps (meilleure adaptation au milieu de vie non aquatique des angiospermes).
Les gamétophytes mâle et femelle correspondent respectivement au grain de pollen et au sac embryonnaire chez les angiospermes.
On aurait donc tort de penser que le grain de pollen ou que le sac embryonnaire ( lui-même contenu dans l’ovule, d’où la confusion ) sont des gamètes ; c’est en effet complètement faux puisqu’ils contiennent les gamètes ou les futurs gamètes.

Cycle de vie du Haricot :
ü La phase d’embryogenèse
ü La phase végétative
ü La phase reproductive

La pollinisation et la fécondation :

Le grain de Pollen est transporté passivement, le plus souvent par le vent ou les insectes, de l’anthère qui le produit sur le stigmate d’une fleur. Il y germe en tube pollinique qui s’allonge considérablement, se faire un passage au travers du style qu’il traverse entièrement pour atteindre la cavité ovarienne puis le micropyle d’un ovule.
Il déverse son contenu dans l’une des synergides ………………………………………………………………………………………………………
L’un d’entre eux féconde l’oosphère, l’autre s’unit aux deux noyaux ‘’polaires’’ de la cellule centrale du sac embryonnaire, noyaux qui auparavant s’étaient accolés, puis avaient fusionnés. La première fécondation aboutit à la formation d’un zygote diploïde qui évoluera en embryon, la deuxième donne un zygote triploïde qui évoluera en albumen.
La reproduction des plantes à fleurs est une reproduction sexuée.
                                                          
Union Gamète mâle   +   Gamète femelle
Etamine                  ovaire
Fécondation
Fécondation d’une cellule ( œuf ) 
                                                                              ---> + réserves !
Deux étapes :
-      La pollinisation ou transport des grains de pollen des étamines sur le stigmate par les insectes, le vent, …
-      L’autopollinisation : transport d’un gamète mâle jusqu’à l’ovule le long de tube pollinique de la même fleur : ‘’Hermaphrodisme’’
Double fécondation :
Le cycle de développement des angiospermes
Gamétogenèse, Fécondation et Embryogenèse

Embryogenèse :

Le zygote se divise pour former 2 cellules filles :
ü La cellule basale qui formera le suspenseur
ü La cellule apicale
Le stade globulaire correspond à la formation des tissus embryonnaires :
ü Protoderme
ü Méristème
ü Procambium
§ Au cours du stade globulaire, le pré embryon est une boule de cellules.
§ Les cellules périphériques deviendront le tissu dermique.
§ L’embryon est en forme de cœur lorsque les cotylédons apparaissent.
§ L’épicotyle est la partie située entre les cotylédons qui contribuera au développement de la pousse.
§ L’hypocotyle est la partie ci-dessous qui contribue à endiguer le développement de la tige.
§ La radicule contribue au développement des racines.

L’embryon de la plante va se développer selon 2 axes : Un point de croissance pour la racine, et un point de croissance pour la pousse qui deviendra tige. A la fin de l’embryogenèse, la plantule possède l’organisation de base de la plante, c'est-à-dire méristème racinaire et méristème caulinaire et des ébauches foliaires.
L’appareil aérien de la plante se développe par addition de nouvelles unités. Au niveau de la tige, chaque unité est formée d’un nœud comprenant une feuille et son bourgeon axillaire ainsi que l’autre nœud correspondant.
Le développement du zygote : graine et fruit
-      La graine : le tégument, l’albumen, l’embryon
-      Le fruit

Ø Le tégument : après la fécondation, le micropyle se ferme, les téguments de l’ovule se sclérifient pour former le ‘’tégument’’ de la graine, parfois appelé spermoderme ou enveloppe protectrice de la graine.
Ø L’albumen : le noyau triploïde central résultant de la fusion triple, se divise activement : les noyaux produits restent tout d’abord libres dans un symplaste. Les cellularisation débute ensuite par la périphérie de ce qui fait le sac embryonnaire et progresse vers le centre. Les cellules se chargent de réserves formant un tissu nourricier, l’albumen, autour de l’embryon issu du zygote principal.

Graine : l’organe résultant de la double fécondation de l’ovule qui contient l’embryon avec la radicule ( qui donnera les racines, et une autre partie qui est la gemmule qui va donner la tige ) , et le (s) cotylédon(s) qui font les premières feuilles et un tissu de réserves et les téguments.
[ La propagation des espèces n’est pas obligatoirement reliée à la graine, la semence a également un rôle très important dans cette propagation ( ex : Blé ) ]
[Les semences peuvent être –eux même- le fruit ]
C’est vrai pour toutes les graines : Enveloppe, Plantule, et cotylédons.
Les graines sont très variables en ce qui concerne la dimension.
La plus grande graine du monde : Lodoicea maldivica ( Les cotylédons ≠ L’albumen )
La graine : l’albumen peut persister comme tel et servir de réserves alimentaires pour le développement futur de l’embryon au cours de la germination ( graines albuminées . ex : Céréales )
Exemples : Magnoliacées , Euphorbiacées ( Hévéa, Ricin, … ), Poacées ( ou graminées )
Il peut aussi être entièrement consommé par l’embryon au cours du développement de celui-ci, comme tout ce qui reste du nucelle lui-même, voire encore le tégument interne.
Les matières de réserves sont alors stockées dans les cotylédons (C). On parle alors de graines exalbuminées ( ex : Légumineuses )
Exemples : Rosacées, …
Les divisions du noyau triploïde central s’interrompent aussi très rapidement. Il n’est pas rare que persiste, autour de l’albumen à maturité, une partie périphérique du nucelle, le périsperme, qui peut parfois remplacer l’albumen ( graines périspermée ) .. ex : Nuneplar
Ø L’embryon : une fois fécondée, l’oosphère s’entoure d’une paroi cellulosique. Le zygote se divise ensuite et se cloisonne, sans phase de noyaux libres, pour former un suspenseur puis un embryon.
Celui-ci est normalement constitué d’une tigelle, d’une radicule et d’un cotylédon ( monocotylédons ) ou de 2 cotylédons ( eudicotylédons )
 Le fruit : C’est de la différenciation de l’ovaire que le fruit tire son origine. Cette évolution se poursuit en même temps que mûrissent la (ou les) graine(s) provenant de la maturation de l’ovule ou de les ovules. Au terme de ces transformations, il apparait une grande diversité de fruits.
La germination :

Le germe (embryon) dans la graine grandit grâce aux réserves nutritives. La germination est liée aux conditions saisonnières. C’est un processus physiologique qui permet à l’embryon contenu dans la graine de donner une jeune plantule.
Chez les physiologistes, la germination commence avec l’imbibition de la graine et finit avec la percée des téguments par la radicule ou par l’hypocotyle. Les étapes ultérieures sont des étapes de croissance.
De manière générale, la séquence d’événements intervenant dans la germination est la suivante :
ü L’imbibition des éléments vivants déshydratés et le gonflement de la graine.
ü Le démarrage de la digestion des réserves ( pour commencer la germination ).
ü Le grandissement des cellules de la radicule, puis la prolifération des cellules du méristème radiculaire.
ü L’éclatement des téguments et la sortie de la radicule.
ü Le développement de la partie aérienne et la libération des téguments.

Les étapes de la germination ( Observation du schéma ) :
ü Géotropisme positif ( la racine orientée vers le bas )
ü La partie hépicotyle apparaît au-dessus du sol
ü L’apparition des premières feuilles et chute des téguments
ü Développement de la tige et des racines
ü Développement des feuilles et chute des cotylédons

Les différents types de germination :
·        Germination hypogée
·        Germination épigée

Lors de la germination hypogée, les cotyles restent dans le sol (Ex : pois) tandis ce que lors de la germination épigée, les cotyles sortent du sol.

Hypocotyle
épicotyle
Au-dessous des cotylédons
Au-dessus des cotylédons

Le développement de la graine en première plante mature est un processus remarquable qui implique la division cellulaire, la croissance par l’élongation des cellules, la différenciation des organes ( comme les racines, la tige, les feuilles ) .. cela implique aussi une longue série de changements chimique et biochimique et physicochimique, très finement intégrés.
La forme finale de la plante résulte de la somme des composantes génétiques présentes dans l’œuf fécondé et de l’effet des forces modificatrices de l’environnement. D’une part, les gènes établissent les limites extrêmes des variations de la plante, d’autre part l’environnement détermine où dans ces limites la forme de la plante adulte va se situer.
Organisation structurale :
Systèmes
Organes
Racinaires
Racines
Caulinaires
Tige , feuilles
Tissus
Tissu de revêtement
Tissu conducteur
Tissu fondamental
Cellules
Parenchyme, sclérenchyme, collenchyme


On a 2 types de méristèmes 
:·        Les méristèmes primaires : On a 2 principaux types : Méristème racinaire et Méristème caulinaire , et il y a 2 différences essentielles entre eux :
ü Selon le rôle :
§  Le méristème caulinaire a un double rôle ; organogène et histogène
§  Le méristème racinaire a un rôle histogène
ü Selon la différenciation :
Le méristème caulinaire de l’embryon met en place directement des méristèmes caulinaires axillaires. Dans ce cas, il n’y a pas des différenciations concernant les racines, les ramifications apparaissent lorsque la dédifférenciation est déjà terminée pour donner une racine secondaire, il se forme donc obligatoirement un nouveau méristème par dédifférenciation des cellules généralement provenant du péricycle. 
·        Les méristèmes secondaires : phellogènes et cambium apparaissent après les méristèmes primaires. Ils assurent la croissance en épaisseur et donnent des tissus secondaires qui constituent la structure secondaire.
Chez les dicotylédones, la croissance en diamètre est assurée par le cambium (zone génératrice libéroligneuse). Ce cambium produit un xylème secondaire ou bois vers l’intérieur, et un phloème secondaire ou liber vers l’extérieur.
En général, chez les monocotylédones , il n’y a pas de cambium.

La plante possède relativement une structure simple : les racines entrent la plante au sol et permettent l’assimilation de l’eau et des nutriments nécessaires à son fonctionnement. Ses tiges jouent le rôle de support des organes photosynthétiques. Les feuilles sont appelés les usines à photosynthèse mais ils permettent également l’assimilation des nutriments par échanges gazeux.
Lorsqu’on entre plus en détail, les caractères anatomiques du plante semblent être plus complexes.
Les racines :
Rôle des racines :
-      Permet d’ancrer la plante au sol
-      Permet de puiser l’eau et les minéraux au sol

Types de racines :
-      Racines pivotantes (dicotylédones en général )
-      Racines fasciculées ( monocotylédones en général )
-      Racines adventives

Le système racinaire : Il est soit :
-      Fasciculé : les racines courent sur la surface du sol
-      Caulinaire : pour retirer l’eau de l’air, pour s’accrocher ou pour servir de tuteur
-      Tuberculeux : pour entreposer les éléments nutritifs
-      Pivotent : pour chercher l’eau en profondeurs ( arbres et plantes )

o   Pivotent : racines profondes , ancrage solide , accumulation des réserves nutritifs
o   Fasciculé : racines peu profondes , couvrent une grande surface , contribuent à empêcher l’érosion des sols
o   Adventive ( comme : maïs, palétuvier )
ü Maïs : proviennent des tiges aériennes et jouent un rôle de tuteur
ü Palétuvier : sont des arbres pouvant pousser dans l’eau salée
Cet arbre commence sa croissance à partir des jeunes pousses qui se développent directement sur les branches d’un arbre (plante épiphyte), il émet par la suite de nombreuses racines adventives.

Les différentes parties de la racine :                                                               


 la zone subéreuse : la partie la plus âgée de la racine porte les racines secondaires (radicelles).
la zone pilifère : émet des poils absorbants qui permettent l’absorption de l’eau et des sels minéraux.
 la zone d’accroissement : derrière la coiffe , responsable de la multiplication cellulaire.
la coiffe : termine et protège la racine et permet la pénétration dans le sol.

 surface d’absorption : se fait surtout par les poils des racines qui permettent une grande surface de l’absorption.

Rôle de la coiffe : ( protection de la racine )

-      Perception de la gravité et pénétration dans le sol
-      Accumulation des grains d’amidon par gravité – perception de la gravité par la plante

Le système caulinaire :


·        Tiges et feuilles
·        Nœuds ou s’insèrent les bourgeons axillaires et les feuilles
·        Pas de coiffe terminale
·        Transition entre racine et tige = ‘’collet’’

Il peut exister des tiges souterraines comme il existe des racines aériennes … !

La tige :

Elle a une fonction de soutien de la plante et transport des éléments nutritifs entre les racines et les feuilles

Elle comporte : Des méristèmes, Des tissus vasculaire,  Des tissus de soutien  
-      
Le méristème apical aérien a la capacité de produire des centres secondaires d’activité méristématique : les méristèmes latéraux. Ils donnent des bourgeons latéraux et pousses secondaires, souvent sous-tendues par une feuille. Leur position détermine le nœud.

Chez les angiospermes ligneux, les tissus vasculaires ( xylème et phloème ) sont issus du cambium. Son développement entraîne l’épaississement de la tige --- > bois (cernes). Chez les angiospermes herbacées, il n’y a pas de cambium. 


Espèce
Taille
Ramifications
( Base / sommet )
Port
Haricot
10 – 30 cm
Dès la base
Herbacée
Lierre terrestre
10-30 cm
Dès la base
Lianescent
Grosseillier
1 à 3 m
Dès la base
Buissonnant
Erable
>10m
Sur le tronc principal, plutôt vers le sommet
arborescent

ü Port herbacée : tige feuillée, verte et souple, ne dépassant pas 30 cm
ü Port buissonnant : tige ramifiée dès sa base, ne dépassant pas 5m
ü Port arborescent : tronc ramifié (Houppier) dépassant la dizaine de mètres

Détermination de caractère ligneux ou herbacé d’une espèce végétale :

Plante herbacée
Plante caractérisée par une tige verte, mince et souple (peu de tissus lignifiés)
Plantes annuelles, bisannuelles ou vivaces
Monocotylédones ou Dicotylédones
Plante ligneuse
§ Les tiges herbacées dans un premier temps brunissent, s’épaississent et se rigidifient.
§ Elles deviennent ligneuses (lignine imprègne la paroi des cellules de certains tissus)
§ Rhytidome ou ce écorce : surface subérifiée brune (présence de liège protecteur)
§ cicatrices = lenticelles (zones des échanges gazeux) sous le liège peu épais, vert chlorophyllien = phelloderme, on atteint ensuite le cœur blanc de la tige rigide.
§ Présence de liber et de bois
Plantes vivaces
Dicotylédones uniquement

Les différents types des tiges :

L’adaptation de la tige au milieu dans lequel elle se trouve, va influencer la forme générale de la plante. La plupart sont dressées, quelques unes sont rampantes ou grimpantes, et beaucoup d’entre elles sont capables de modifier davantage leurs tiges et les enfouir sous terre.

En fonction de l’activité méristématique, on va trouver différents types de plantes :
ü Pérennes ou vivaces : ayant une activité indéterminée du méristème apical, la croissance végétative est infinie
ü Annuelles : ayant une activité déterminée du méristème apical, la croissance végétative est finie et l’ensemble du cycle (de la germination de la graine à la production de graines) se fait en une saison de végétation.
ü Bisannuelles : ayant une activité déterminée du méristème apical, la croissance végétative s’effectue la première saison de végétation et leur production la saison suivante.

En fonction du type de la tige, on distingue :
ü Arbre : tronc bien différencié et ramifiant seulement à partir d’une certaine hauteur
ü Arbrisseau ou arbuste : se ramifiant dès la base et ne dépassant pas quelques mètres de hauteur.
ü Sous-arbrisseau : possède une base ligneuse surmontée de rameaux herbacés ( mourant chaque année )
ü Liane : plante grimpante à tige ligneuse.

Un cas particulier : les plantes acaules ! ce sont des plantes à tiges court-nouée, formant une rosette basilaire. Les fleurs sont portées par une hampe florale (dernier entre nœud qui s’allonge) c’est le cas de pissenlit, par exemple !!!

Le bourgeon : responsable du développement de la plante. C’est la formation végétative qui contient l’ébauche d’un rameau floral, elle est normalement protégée par des écailles coriaces, notamment chez les végétaux caducs.
·        Bourgeons terminaux
·        Bourgeons axillaires : qui prennent place à l’aisselle, prêts à produire un rameau latéral d’une fleur ou d’un groupe de fleurs.

Suivant que le fonctionnement du méristème apical de la tige porteuse, soit défini ou indéfini, il s’agit respectivement :

ü Ramification monopodiale : les axes latéraux se développent sans qu’il y ait arrêt définitif du fonctionnement de méristème de la tige principale

ü Ramification sympodiale : le méristème terminal de l’axe porteur meurt ou se transforme en une structure qui perd sa faculté de croître végétativement.

La croissance se poursuit alors à partir d’un ou de plusieurs méristèmes axillaires qui formeront autant d’axes latéraux ou relais.
Acrotonie, Basitonie, et Mésotonie : Ces 3 qualificatifs indiquent le développement préférentiel des rameaux, respectivement à la base, dans la partie médiane et au sommet de la tige porteuse.
Les types de croissance de la tige :
ü Croissance primaire : croissance en largeur à partir du méristème du bourgeon terminal.
Si un bourgeon latéral se développe, il devient le bourgeon terminal de la tige qu’il fabrique
ü Croissance secondaire :
o   Croissance en épaisseur de la tige : se fait surtout à partir d’un méristème cylindrique appelé cambium vasculaire
o   Croissance en hauteur de la tige : qui se fait par 
§  Le bourgeon terminal : les plantes croissent par leurs extrémités
§  Le méristème apical : qui allonge la tige, fabrique les feuilles et les bourgeons axillaires
§  A l’origine des autres méristèmes de la tige
C’est le bout de la branche qui s’allonge et non la base qui est poussée sur le reste 
Ramification de la tige :
§  Par bourgeons axillaires
Dominance apicale : Bourgeon terminal inhibant la croissance
§  Coupe bourgeon terminal : stimule la croissance des branches latérales
§  Un bourgeon axillaire qui se développe, devient le nouveau bourgeon terminal
Anatomie de la tige :
Comme les racines, les tiges sont différenciées à cylindre central qui est plus souvent disposé autour de la moelle formée des cellules parenchymateuses, l’écorce riche en réserves nutritifs, le cortex autour du cylindre central. Les couches des cellules épidermiques tapissent le tout.
La différence entre la tige et les racines est que l’épiderme de la première est muni des stomates, parfois de cellules modifiées en poils, et toujours des cuticules. Les tiges vertes contiennent toujours de la chlorophylle, le xylème et le phloème se trouvent sur le même rayon, le xylème vers le centre et le phloème vers l’extérieur.
Le xylème primaire et le phloème primaire se forment à partir de la différenciation des cellules de procambium !!
Le procambium est formé de cellules méristèmatiques provenant du méristème des bourgeons.
Entre les faisceaux, des cellules de parenchyme se transforment en cellules méristèmatiques. Il se forme alors un cambium qui unit entre elles les bandes de procambium. Ces cellules du cambium vasculaire se divisent et se modifient en cellules de phloème ( ce qui donne le phloème secondaire) . Ces cellules de cambium se divisent et se modifient dans des cellules du xylème et donnent le xylème secondaire.
Il existe une zone de transition entre la racine et la tige. Cette zone se forme au début de la plantule permettant de passer d’une structure à une autre. La transition se fait à quelques mm ou bien à quelques cm.
La feuille : structure et développement :
Les feuilles sont formées à partir du bourgeon terminal au cours de la croissance de la tige.
Un primordium foliaire se transforme en feuille par divisions cellulaires, croissance et différenciation. La formation d’un bombement, sur le flanc du méristème apical caulinaire, est la premières manifestation d’une nouvelle feuille.
Les différentes parties de la feuille :
Constituée généralement en partant de la tige, d’une base dilutée (gaine) entourant plus ou moins la tige. Cette gaine se prolonge en un axe étroit appelé le pétiole, qui à sa base peut porter des appendices foliacés qui sont les stipules. Le corps de la feuille (partie généralement aplatie et élargie) prolongeant le pétiole est le limbe qui est parcouru des nervures.
Certaines feuilles présentent 2 petites glandes nectaires à la base du limbe.
La forme et la taille de la feuille ainsi que sa disposition sur la tige aident les plantes à assurer la photosynthèse, entre autres fonctions.
La forme et la structure des feuilles reflètent des adaptations ayant permis à une plante de survivre dans différents environnements.
Persistance des feuilles sur la branche :
ü Persistantes : demeurent attachées et fonctionnelles durant plusieurs années ( ex : épicéa, houx)
ü Caduques ou décidues : tombant à chaque saison défavorable, hiver ou saison sèche.
ü Marescentes : persistant sous forme désséchées pendant la saison défavorable et tombant au printemps ( ex : charme )
Insertion de la feuille sur la branche :
·        Feuille stipulée : avec un pétiole
·        Feuille sessile : sans pétiole, le limbe est directement inséré sur la branche

Phyllotaxie : disposition des feuilles :
-      Alternes : une feuille par nœud
-      Opposés : 2 feuilles par nœud
-      Décussés : insertion décalée de 90º à chaque nœud successif
-      Verticillés : plus de 2 feuilles à chaque nœud
En général, il y’a 3 types de phyllotaxie : Ils différent par le nombre de feuilles et le mode d’insertion au niveau d’un nœud : alternes, opposés et verticillés
Dans le cas d’une disposition alterne, une seule feuille est insérée au niveau d’un nœud, et les feuilles sont disposées selon une spirale ou une hélice foliaire.
Dans la disposition opposée, 2 feuilles sont face à face à chaque nœud. Dans une autre variante, la disposition décussée opposée, chaque paire de feuilles se met en place dans le plan perpendiculaire aux  précédentes.
Enfin, dans la disposition verticillée, 3 feuilles ou plus forment des couronnes à chaque nœud.
La nervation ( orientation des nervures du limbe ) :
Parallèle , Palmée ou Pennée …
·        Feuilles modifiées en épines
·        Feuilles imitant des pétales de la fleur ( poinsettia )
Critères morphologiques caractérisant une feuille :
1-   Type de feuille
2-   Phyllotaxie
3-   Forme géométrique
4- contour du limbe
5-   Base du limbe                                                                                                 
6-   Pointe ou sommet du limbe                                                                                 
7-   Type de nervation                                                                                    
8-   Surface du pétiole ou du limbe
La morphologie de la feuille :
On reconnait 2 grands types de feuilles :
ü Feuille simple : un limbe continu à l’extrémité d’un pétiole non ramifié
ü Feuille composée :
o   Pennée : limbe divisé en plusieurs folioles disposés le long de la nervure principale
o   Palmée ou digitée : limbe divisé en plusieurs folioles disposées à l’extrémité du pétiole
La phyllotaxie ou l’insertion des feuilles sur la tige :
-      Parallélinerve
-      Penninerve
-      Palmatinerve
Les surfaces (pétiole – limbe) :
-      Glabres : dépourvus de poils
-      Pubescentes : couverts de poils
-      Tomenteuses : couverts de poils entremêlés cotonneux
Par évolution, certaines feuilles se sont modifiées pour remplir d’autres fonctions. Ex : vrilles
Distinction des feuilles de monocotylédones et des dicotylédones :

Caractéristiques
Dicotylédones
Monocotylédones
Forme du limbe
Très variée
Feuilles entières
Orientation
Détachées de l’axe principal  = réception de la lumière
Droites et dressées parallèlement à l’axe qui les porte
Pétiole
Présence en général
Feuilles sessiles, gaine très développée
Nervation
Nervure principale importante qui se ramifie en nervures secondaires plus ou moins obliques par rapport à la nervure principale
Nervures parallèles entre elles et à la principale diamètre décroissante vers le bord du limbe